L’Europe a urgemment besoin de changement et les élections qui arrivent sont une formidable opportunité de construire un nouvel espoir pour le projet européen. Ecolo veut une Europe qui renouvelle et tienne ses promesses, où les gens et la planète passent avant le profit, où l’égalité entre les femmes et les hommes devient une réalité, où les droits humains sont respectés et où les voix des citoyennes et des citoyens comptent.

A l’Europe comme aux autres niveaux de pouvoir, les écologistes font le choix de l’espoir et des solutions, face aux replis identitaires, aux extrémismes et à la haine des autres, face à l’immense défi du réchauffement climatique aussi. Pour les Verts, le moment est venu de faire fonctionner notre économie au bénéfice de tous et toutes.

Emmenée par Saskia Bricmont et l’actuel eurodéputé Ecolo Philippe Lamberts, la liste Ecolo à l’Europe se compose d’Olivier De Schutter, Malika Hamza, Arthur Lambert, Esther Bollendorf, Romain Gaudron et Stéphanie Lepczynki, soutenus par Nicole Dewandre, Dominique Perrin, Cécilia Torres, Luc de Brabandère, Evelyne Huytebroeck et Patrick Dupriez.

Tous partagent un objectif commun : aller vers une Europe dynamique qui protège, émancipe et inspire. Au coeur du changement souhaité par les écologistes, se trouvent notamment l’action urgente sur le changement climatique, l’investissement dans la recherche, l’innovation et le développement d’une économie verte, et l’assurance d’un salaire minimum décent dans tous les Etats membres pour une véritable Union sociale.

Pour les écologistes, l’intégration européenne est un vecteur indispensable de la reconquête de leur souveraineté par nos démocraties. Les citoyennes et citoyens européens représentent 7 % de la population mondiale. Ce n’est qu’en agissant ensemble qu’ils peuvent peser sur leur destin et sur celui de l’humanité.

« La transition écologique et solidaire passe aussi par l’Europe. L’intégration européenne doit être poursuivie mais doit radicalement changer de cap. L’UE ne doit plus être le vecteur de l’adaptation de nos pays à la mondialisation néolibérale. L’UE peut être, au contraire, le vecteur d’une transition écologique, solidaire et démocratique. Mais pour cela, nous avons besoin d’autres majorités politiques en Europe. Le rendez-vous électoral du 26 mai prend à cet égard une importance cruciale », concluent Saskia Bricmont et Philippe Lamberts, qui profitent également de cette occasion pour attirer l’attention sur le congrès des Verts européens qui se tiendra ce samedi 13 avril à Bruxelles, l’occasion d’échanges et de débats en présence de figures politiques et d’activistes de toute l’Europe.